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9 décembre 2007 7 09 /12 /décembre /2007 17:54



Yin et Yang

 

Fleur de cactus

Ou

Fleur de lotus 

Faut-il choisir ?

 

Tantôt l’une

Piquante et railleuse

Tantôt l’autre

Douce et lumineuse

 

Fleur de cactus

Ou

Fleur de lotus

Pourquoi choisir ?

 

Miroir l’une de l’autre

Je à double visage

Tigresse et chatte

Femme éternelle

 

Fleur de cactus

Ou

Fleur de lotus

Qu’y a-t-il à choisir ?

 

Etonnante combinaison

Aux égratignures cinglantes

Facettes d’un même diamant

Humbles tisserandes de l’Un

 

Fleur de cactus

Ou

Fleur de lotus

Il n’y a rien à choisir !

 

Chantal

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3 décembre 2007 1 03 /12 /décembre /2007 20:03

animaux-oiseau.jpg
No Control

 

Les mots dansent en moi

Leur valse lente

Et vont se pendre, froufrous

Sur la corde à linge de mon âme

 

Mots savants ou de tous les jours

Mots tendres ou vagabonds

Cris de détresse ou de victoire

Lessive bariolée un temps suspendue

 

Dans le plus grand désordre.

Amusée, je les contemple.

Sidérée, je les vois s'animer

S'épouser en noces mystérieuses

 

La corde à linge devient parchemin

Mon âme, une plume arc en ciel

D'où jaillit en flèche, poésie

Curare ou calembredaine

 

Fantasia des mots

Farandole en liberté

Juste pour le plaisir

De vous servir, mon Prince ...

 

Chantal  2005 

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3 décembre 2007 1 03 /12 /décembre /2007 19:50

key-5Feternity.jpg

Laissez-moi....

 

Ne m’enfermez pas

Laissez moi tout mon espace

Laissez moi respirer

Laissez moi – pour vous

Être libre de tout diktat

Ne m’enfermez pas

 

Ne m’enfermez pas

Laissez moi aller

Laissez moi jouer avec vous

Jouez avec moi

Laissez moi vous désirer

Ne m’enfermez pas

 

Ne m’enfermez pas

Ne refermez pas vos bras sur moi

Comme les portes d’une prison

Laissez entrer le vent

Laissez moi venir à vous

Ne m’enfermez pas

 

Ne m’enfermez pas

Tenez votre porte grand ouverte

Laissez moi vous aimer,

Offrez moi - sans crainte de me perdre

Laissez vous me respirer

Ne m’enfermez pas

 ..............
........
 

Dit l’Amour....

********************

fin Chantal  

 

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29 novembre 2007 4 29 /11 /novembre /2007 17:53

Bonheur.jpg

Insomnie

 

Pluie d’automne

En chant monotone

Berce ma nuit

Que le sommeil fuit

 

Ciel gris de  coton

Pour couette en plumes

Clapotement de l’eau

Au creux de la gouttière

 

Derrière mon front

Se profile le traditionnel cortège

De visages inconnus

Aigle Blanc m’est apparu

 

Battement de la pluie

Martèlement de mes doigts

Sur mon clavier

Que j’ai fini par rejoindre

 

La nuit n’en finit pas

Retour sous l’édredon

Sommeil en vacance

J’épie l’obscur silence

 

Vogue mon âme

Au-delà du plafond

Au-delà des nuages

Explore d’autres mondes

 

Le sommeil peut bien attendre …

 

Chantal 23 novembre 2006

 

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28 novembre 2007 3 28 /11 /novembre /2007 14:28

058068.jpg

Rien à dire et je le dis

 

Pourquoi

Et quoi écrire

Quand les mots

Ne savent plus où

S’accrocher

Pour dire ?

Quand il n’y a plus rien

A dire

Parce que tout ne veut plus

Rien dire ?

Même les maux se taisent

Dans leur impuissance

A tuer

Reste un vide, un blanc

En quête de mots

A faire fleurir

Sur la page de ma vie

 

Texte de Chantal  février 2007

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28 novembre 2007 3 28 /11 /novembre /2007 14:22

9nx8993z.gif



Pourquoi y aurait un titre ?? !

 

A bicyclette sur ma feuille de papier

J’essaie de suivre la ligne droite

Mais des lettres sautent de ma sacoche

Et font de drôles d’échappées.

Je veux les rattraper et me voilà

Décrivant des huit ou des croches

Sans même regarder ce qui se passe,

Trop occupée à garder l’équilibre !

 

Ecrire relève du funambulisme

Sur le fil de l’âme ou  du cœur.

Qui peut dire à l’avance

Quel sera le texte final ?

Certainement pas moi !

Je relis et suis la première étonnée

A me demander qui a écrit cela !

Il n’y a personne d’autre dans la pièce...

 

J’ai depuis longtemps  remisé mon vélo

Pour me coucher sur le vélin,

Laisser venir rêves ou parfums

Au diable l’équilibre !

Il pleut des syllabes avec ou sans rimes

Je les vois s’arranger entre elles

Au gré du vent de leur bon plaisir.

Que, de ces pieds,  volonté soit faite !

 

Puissent les mots continuer leur envol

Vivre leur vie en totale liberté,

Se réinventer eux-mêmes,

N’en déplaise aux académiciens,

Bousculer l’ordre établi.

Au diable les douanes du dico !

J’ai lâché, de ma plume, les rênes

Et de mon bateau largué les amarres.

 

Texte de Chantal 7 avril 2007

 

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27 novembre 2007 2 27 /11 /novembre /2007 11:04

manga.jpg



Plume psychédélique

 
C'est un matin comme les autres. Assise à ma table, mon stylo à la main, j'accouche des mots qui dansent au coeur de mon être. Il se passe quelque chose d'étrange. Je sens des frémissements dans ma plume !
On dirait, oui, on dirait qu'elle a le fou rire !!
C'est pourtant un stylo tranquille, une plume docile, douce et lisse qui, en temps normal, embrasse amoureusement la feuille, lui offrant mots-baisers et autres douceurs sans jamais faire de remous !
Que lui arrive-t-il aujourd'hui ?
Quelle agitation ! Mes doigts se font étau pour maîtriser la mutinerie, mais peine perdue !
L'outil devenu incontrôlable est pris d'un hoquet de fou rire et crachote sans vergogne des gouttelettes de sang bleu outremer. Taches psychédéliques au papier complice sous mon regard médusé...
 
Saperlipopette ! Je crois comprendre .... Ce comportement ne peut être que la conséquence de la transfusion de sang ! Oui, absolument !!! J'aurais dû le laisser avec son sang bleu royal....
Mon stylo est en plein trip - limite overdose - de bleu outremer ! A moins que ce ne soit un choc anaphylactique ? Quelle histoire !
Un lavage d'estomac s'impose pour ne pas voir périr, en affreuses convulsions, mon fidèle compagnon d’écriture. Blouse blanche. Vite vite ! Les soins intensifs : infâmes borborygmes ! Pansements sopalineux et, pour faire bonne mesure, injection d'antihistaminique !.... Le stylo - un peu pâlichon tout de même - a retrouvé son calme et me lance un regard de gratitude depuis son réconfortant plumier !
Mauvais trip ou allergie, dans les deux cas, je dois bien être la seule écrivaine à posséder un stylo capable de s'envoyer en l'air à l'outremer ou d'y être mortellement allergique ! Je le savais bien ! J'ai toujours considéré ce stylo comme spécial mais, là, je suis admirative ! Un peu coupable aussi ... J'ai failli le tuer le pauvre !
A la poubelle, l'outremer ! A la corbeille, le papier souillé ! Plus jamais ça et plus jamais de transfusion !
 
Huumm .. et si j'essayais une transfusion violette ou rose indien ?
 
Noooooonnnnnn !! me crie le stylo. Je veux rester bleu !
 
Hé ! Hé ! Il a retrouvé son énergie, l'écriveur ! Me voilà tout à fait rassurée.
 
Quand même, pensé-je, le rose indien ......... ça pourrait être super  ! ;)
 
Fin Chantal
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25 novembre 2007 7 25 /11 /novembre /2007 15:52
duel-au-soleil.jpg
http://www.azurs.net/photoblog


La Ville m’a dit cette nuit …
 
Pas un bruit dans la ville.
La nuit y déroule son silence
En un long ruban cotonneux,
A l’image des nuages
Mangeurs d’étoiles.
J’entends respirer
Le cœur de la ville
Je sens battre son pouls
Dans mes veines.
Elle me dit sa fatigue
Et ne joue plus les faraudes.
Elle rêve de verdure,
D’eaux limpides
Et d’enfant au ballon rouge,
Courant dans une prairie,
Pour attraper un chat blanc
La ville est fatiguée d’être une ville
Elle veut changer d’air
Et même d’atmosphère
Elle veut redevenir…  campagne !
 
Texte de Chantal  2007
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24 novembre 2007 6 24 /11 /novembre /2007 17:16
foto-pdt-guerre.JPG

La rue de mon enfance
 
Ma famille habitait dans un immeuble de la rue Vauban – tout près du quai Général Sarrail. Des fenêtres de l’entresol que nous occupions on voyait le Rhône et le pont Lafayette et de l’autre côté du pont, les Galeries Lafayette…
Juste en face de nous, l’immeuble où s’est installée la GESTAPO pendant la drôle de guerre (je me demandais ce qu’elle avait de drôle celle-là et me le demande encore !) qui est redevenu par la suite l’immeuble de la P J.
Il s’est toujours passé des choses peu catholiques dans ce lieu : passages à tabac pendant les interrogatoires, rafles de prostituées, ratonnades pendant la guerre d’Algérie et autres joyeusetés du même genre !
 
C’était et c’est encore m’a-t-on dit – une rue tranquille, aux immeubles de belle allure où vivait la petite bourgeoisie.
Rue sans surprise et apparemment sans grand intérêt ….
Et pourtant, quand j’étais toute petite, 3 boutiques me fascinaient : l’épicerie de Mme Clos, la laiterie et le salon de coiffure, sans oublier le marchand de charbon et le vitrier !!
 
Mme Clos était une imposante femme, d’un âge indéfinissable. Cheveux grisonnants, frisottés  et rares, obèse à cause d’un diabète qui lui causait beaucoup d’ennuis, visage rond où quelques poils blancs décoraient hardiment des verrues que je trouvais énormes ! Elle parlait toujours d’une voix essoufflée, voulait jouer les méchantes avec les enfants sans y parvenir vraiment. En fait elles étaient 2 sœurs à tenir l’épicerie et toutes deux du même acabit !! L’aînée – ma préférée – trônait à la caisse et n’en bougeait pas de la journée, sauf extrême urgence !!
La semaine, elles portaient toujours le même vêtement informe recouvert de grands tabliers aux couleurs délavées.
A elles deux, ces femmes avaient déjà quelque chose de surréaliste mais que dire alors de leur boutique !! Une vraie caverne d’Ali Baba pour une enfant !
Cette épicerie occupait l’angle de la rue Vauban et de le rue Pierre Corneille.
Il y faisait toujours sombre, la lumière qui aurait pu venir de la vitrine étant occultée non seulement par le fameux papier bleu collé alors sur toutes les fenêtres de Lyon, mais aussi par les marchandises, les plus hétéroclites qui soient, entassées, en un équilibre précaire, jusqu’au plafond. Boutique exiguë où il ne restait que peu de place pour circuler ! Etagères débordantes de boîtes de conserves, de lait condensé, de bocaux de fruits, de légumes secs, de pâtes, de café, de chicorée, d’épices, de bonbons multicolores, de balais, de serpillière et même de martinets pour enfants pas sages !!  … etc.
Au sol - un carrelage défoncé de partout et dont la couleur était à peine visible sous la crasse - d’énormes sacs en jute contenant du riz – le plus souvent avec charançons, des lentilles pleines de cailloux, de la farine, elle aussi charançonnée …   
La guerre !! …
Là, se trouvaient – trop rarement   - les légumes et fruits frais : topinambours, rutabagas…
Il y avait encore un énorme tonneau contenant des œufs conservés dans de la saumure (il y en avait un aussi chez nous, mais plus petit !), des caisses de vin, de bière
 
J’était fascinée par cette abondance alors qu’on manquait de presque tout à la maison et je ne comprenais pas pourquoi ma mère n’en rapportait pas de pleins sacs à la maison ! Il y avait ce fameux rationnement, les tickets !! Selon leur catégorie, ces tickets donnaient droit à une quantité précise de marchandise et la catégorie des tickets dépendait de l’âge des personnes correspondantes !
Je me souviens que j’appartenais à la J 3, enfin …. Je crois !
Il y avait des tickets pour tout : épicerie, viande, pain, biscottes, lait…
 
Le plus étonnant de cette boutique étaient ses odeurs !
Celle qui dominait était l’odeur de renfermé poussiéreux que le parfum des épices ne parvenait pas à dissimuler. L’odeur aussi - doucement âcre -  que dégageaient les deux femmes : était-ce l’odeur du diabète sur fond d’absence d’hygiène ?
Les sacs de jute laissaient flotter des effluves légèrement piquants adoucis par celle – sucrée - des bonbons. Des relents de  vin – gros rouge -   répandu accidentellement lors de la mise en bouteilles – vous prenaient à la gorge comme par surprise  pour se fondre ensuite dans les autres senteurs.
Un autre personnage trônait dans cette épicerie : Monsieur le chat ! Un énorme matou qui passait le plus clair de son temps à dormir sur des sacs de jute vides empilés !! Comme tous les chats à cette époque, celui-ci avait un rôle bien défini : chasser les souris ! Et au vu de son imposante taille, ce chat devait faire une sacrée bombance toutes les nuits !
 
Chez nous, les souris menaient une sarabande incroyable et notre chat ne suffisait pas à les exterminer ! Elles nous offraient un spectacle des plus divertissants, enfin, que je trouvais divertissant ! Mes parents ne voyaient pas cela du même œil que moi !! Les souris sont restées mes copines même si maintenant je leur demande de respecter mon territoire, ce qu’elles font d’ailleurs !
 
Si on trouve aujourd’hui l’équivalent – ou presque – de cette épicerie avec les épiceries arabes (vous savez : l’arabe du coin !) ou asiatiques, il y a une boutique qu’on ne trouve plus du tout : la laiterie !
 
Autant l’épicerie se faisait remarquer par son encombrement autant la laiterie nous offrait un vide blanc et bleu clair – le bleu laiterie ! Je n’ai jamais trouvé, par la suite, ce bleu répertorié sous ce nom dans les tubes de peinture !!!!
Un carrelage immaculé souvent humide en raison des nombreux arrosages au jet pour éliminer les traces de lait.
Alignés contre un mur d’immenses bidons en aluminium attendaient le passage du camion laitier. Dans le prolongement d’une sorte de banque, se trouvaient deux imposantes cuves pleines de lait ; la laitière plongeait des mesures en aluminium (louches ou récipients gradués) pour remplir les « berthes » de ses clients.

 berthe----lait.jpgCes « berthes » étaient le plus souvent en aluminium elles aussi ; parfois je me souviens de femmes qui venaient avec des « berthes » de luxe, rouges à pois blancs. Leur couvercle fixés au corps du récipient cliquetaient pendant le transport à vide ou lors de leur remplissage : le chant des berthes est encore dans mes oreilles !
Tout comme est dans mes narines l’odeur de lait et de crème qui embaumait la laiterie. Un bon lait onctueux qu’il fallait faire bouillir une fois arrivé à la maison afin d’empêcher qu’il « tourne ». Il fallait aussi le surveiller pendant cette opération, repérer le moment où ce lait chercherait à s’échapper de la casserole …. Oter la casserole du feu puis la remettre une fois le liquide revenu à un niveau normal et ainsi de suite par trois fois : « Surveille le lait ! » disait ma mère.
Le lait de mon enfance n’était pas aseptisé comme celui de maintenant ! On y trouvait des mouches noyées parfois, quelques brins de paille … Si le lait de laiterie n’avait déjà plus le goût exquis du lait bourru tout frais sorti des vaches de la Haute Loire, il gardait cependant le goût des herbages et d’étable, disparu à jamais hélas !
 
Sur la banque il y avait des jattes de fromage blanc et de crème, plus rarement, du beurre avec de jolis dessins en relief dessus. Mais aussi on trouvait de grosses mottes de beurre : la laitière découpait avec un fil de fer la quantité que vous désiriez. S’offrait à nous aussi du gruyère plein de trous à la saveur incomparable
Comme tout cela était bon ! Une tartine de ce beurre-là, presque jaune, onctueux et vous étiez transportés dans les fermes de campagne …. Si du miel de montagne s’y ajoutait alors vous étiez au paradis !
Un beau jour sont apparues les bouteilles de lait, puis deux sortes de bouteilles, l’une a capsule rouge pour le lait entier, l’autre à capsule bleue pour le lait écrémé et cela a été le début de la fin du vrai lait !!!!
 
…………………….. À suivre peut-être ? ;)   berthe----lait02.jpg
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23 novembre 2007 5 23 /11 /novembre /2007 18:24
 

ascension-a.jpg



Ca gronde …
 
Le rouleau compresseur continue son avancée dans le monde
On le dirait roulant dans les entrailles de la terre
La soulevant en énormes vagues grondantes et ténébrantes.
L’humanité face à ce qu’elle a créé
Etouffe dans l’étau qui la prend à la gorge
Et l’enserre dans une étreinte mortelle.
Il est possible de vivre autrement …
Fraternellement par exemple !
 
Humains levons-nous comme un seul homme
Osons dire : ça suffit !
Anges humains, secouons la boue de nos ailes
Laissons-les se déployer
Dans un doux bruissement doré
Abandonnons peur, haine et terreur,
Profit et manipulations en tous genres
A ceux qui en ont encore besoin
 
Cela n’est plus notre affaire !
Il est de notre responsabilité
De permettre à l’énergie d’amour
De prendre place sur notre planète
Où que nous nous trouvions !
Calmement, fermement,
Conscients de la lumière dont nous sommes porteurs
Levons-nous et osons ËTRE !!
 
Chantal  2006
 
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Présentation

  • : Le blog de Paprika
  • : Une ballade tout en douceur au gré des images, des mots.... au vent du cœur .... ce qui n'exclue pas des cris d'indignation.... Rêvons ensemble voulez-vous ? :o)
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  • Paprika
  • Je me suis mise à l'écriture il y a une quinzaine d'années comme poussée par une nécessité intérieure ... 
 Des poèmes - en prose pour la plupart - me venaient comme par "magie" 
 J'en ai mis quelques uns en images sur des videos ...
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